Tes 5 sens

Tes cinq sens qui me rendent dingue et totalement accro à toi mon petit amour.

–TON REGARD–

C’est incroyable le nombre d’expressions qu’il y a dans ton regard mon chéri. J’espère que tu ne les perdras jamais. Tu as ton regard coquin quand tu fais une blague, ou quand tu testes notre patience (on le voit souvent celui-là d’ailleurs). Tu avais (heureusement ça t’es passé) ton regard « sourcils froncés » et « yeux-qui-nous-fixent » en contre-plongée quand tu n’étais pas content. Il y a aussi ce regard quand tu racontes ta journée et que papa et moi comprenons ce que tu racontes : c’est ton regard satisfait « ben oui ». Il y a, aussi, ton regard triste. Attention, je ne parle pas de celui avec les larmes de crocodile, celui-là il est drôle. Non je parle de celui remplit de larmes quand tu te blesses, où que l’on te manque… Il me fait mal celui-là, je l’aime et le déteste en même temps car il vient de toi et nous aimons TOUT ce qui vient de toi, mais il exprime aussi tout ton malheur et toute ta peine. Je la déteste cette souffrance !

–TON ODEUR–

Quand tu fais dodo, je viens toutes les nuits allumer ton radiateur, vérifier ta position, et remonter ta couverture ; et tu as une particularité depuis que tu es tout petit : ton lit sent la délicieuse odeur de pain grillé ! Je ne peux pas l’expliquer. L’odeur que je peux expliquer en revanche, c’est celle où tu sens l’ail et dont tu mets 3 jours à te débarrasser. Et oui, ta nounou cuisine… Il y a aussi ton odeur de sueur, elle est acide, comme ton papi. Quand tu étais petit, j’avais un eu un peu de mal avec cette odeur, mais maintenant je l’adore (pas tous les jours non plus 🙂 ).

–TA PEAU–

Elle est si douce. J’en profite car je sais qu’elle changera. Je te mangerais ! Je mangerais tes bras, tes pieds qui sentent très bons (normal, ils sentent comme les miens, ceux de papa je ne les mangerais pas…). Tu deviens un grand garçon d’ailleurs, j’ai aperçu du duvet sur tes jambes. Déjà !!!

–TA VOIX–

Ta voix qui m’appelle en pleine nuit quand tu as peur du bruit du vent. Celle qui me supplie de rester dans ton lit. Mais aussi quand tu me tires le bras pour aller jouer. Ta voix quand tu sautes de joie parce qu’on mange de l’ananas au 4h. Quand tu parles la nuit, en langage tétine. Ta voix quand tu hurles car tu n’es par content, mais généralement, tu es fatigué à ce moment là. Et il y a surtout celle quand tu me réclames un câlin avant le dodo, et que tu me dis « je t’aime », « me manquer »…

–TA CURIOSITÉ–

Quand je parle de ta curiosité, j’entends par là : ton ouï. Oh comme tu entends tout ! Mais ce qui est fou, c’est que depuis bien longtemps déjà, tu comprends aussi tout. Il peut y avoir la TV, hippo-glouton et le cœur de Te-Fiti (spéciale dédicace à Vaïana qui n’a qu’à bien se tenir, nous aussi on a une boîte avec un cœur dedans), tu arriveras toujours à suivre la conversation entre papa et moi. Il faut dire que si en plus on place les mots « piscine », ou « mer » dans la conversation, nous sommes foutus ! Je trouve que la période dans laquelle tu es, c’est à dire 33 mois, c’est le meilleur moment ! On peut parler de tout, tu comprends, tu es curieux, et ce qui nous épate par-dessus tout c’est quand tu lances des sujets de discussions. Mon dieu que nous sommes fiers de toi, et c’est tellement bon de rire avec toi mon chaton.

En sommes, papa et moi aimons tout de toi. Tes cinq sens te rendent à croquer et font de toi quelqu’un d’exceptionnellement exceptionnel (en toute objectivité bien sûr).

À bientôt les papas et les mamans

**Charlie**

4 commentaires

  1. Joli article

  2. Un très joli article écrit avec beaucoup d’amour bonne soirée

    1. …et des yeux qui pétillent. Heureuse qu’on le ressente en me lisant 🙂 merci !

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *